Il faisait encore chaud. Cette promenade du soir fut plus contemplative que sportive. Rien n'égale la fraîcheur du petit matin. Mais, oui, j'ai pris beaucoup de plaisir à marcher tranquillement, loin des contingences de ce monde. Je vous remercie pour votre question, peut-être marchiez-vous derrière moi, ou devant ?
J'ai fait un peu de musique, jadis, notamment du jazz (sax ténor), je peux vous dire ma chère, la difficulté du silence en musique ! Oui, "ce n'est que l'espace entre deux notes, entre deux sons", mais c'est un univers, ce silence-là ! Sans lequel d'ailleurs la musique ne pourrait être.
Il est d'autres silences, mais sans faire de jeu de mots, je vais faire silence, la chaleur s'étant apaisé, je vais marcher en colline, écouter (encore lui !) le silence, souligné par les bruits furtifs de la forêt...
tout à fait d’accord avec ce qu’a écrit Randolf, je ne saurais mieux d’écrire ce sentiment de libération intérieure qui retentit au plus profond de soi.
Il faisait encore chaud. Cette promenade du soir fut plus contemplative que sportive. Rien n'égale la fraîcheur du petit matin. Mais, oui, j'ai pris beaucoup de plaisir à marcher tranquillement, loin des contingences de ce monde. Je vous remercie pour votre question, peut-être marchiez-vous derrière moi, ou devant ?
La promenade a été agréable ?
Merci, mbcperrin pour votre message de sympathie.
J'ai fait un peu de musique, jadis, notamment du jazz (sax ténor), je peux vous dire ma chère, la difficulté du silence en musique ! Oui, "ce n'est que l'espace entre deux notes, entre deux sons", mais c'est un univers, ce silence-là ! Sans lequel d'ailleurs la musique ne pourrait être.
Il est d'autres silences, mais sans faire de jeu de mots, je vais faire silence, la chaleur s'étant apaisé, je vais marcher en colline, écouter (encore lui !) le silence, souligné par les bruits furtifs de la forêt...
tout à fait d’accord avec ce qu’a écrit Randolf, je ne saurais mieux d’écrire ce sentiment de libération intérieure qui retentit au plus profond de soi.